Lors de la dernière édition de la Paris Games Week, j'avais reçu sur le stand Coca-Cola Nadim Haddad de Pastagames, le studio chargé de ce remake de Pang, un jeu sorti à l’origine en Arcade au Japon à la fin des années 80. Pang Adventures avait, en effet, été dévoilé lors de la PGW… et depuis… ben depuis, on l’attendait.
Cette fois ça y’est, le jeu est dispo en téléchargement sur PS4, Xbox One et PC pour (seulement) 10 € mais aussi sur mobiles (Android et iOS) pour 4 €. Pour en apprendre plus sur ce jeu et sur son retour, j’ai reçu Cyrille Imbert, le boss de DotEmu. Cet éditeur français est devenu LE spécialiste de retours d’anciens jeux en proposant, la plupart du temps, de faire tourner de vieux comme Little Big Adventure ou Another World sur les machines d’aujourd’hui mais aussi en réalisant de véritables remakes et c’est le cas avec Pang Adventures.
Sur le principe, le jeu vous met dans la peau d’un petit gars qui doit sauver la terre en détruisant des ballons qui menacent de l’écraser. Problème, lorsqu’un ballon est détruit il se divise en deux ballons … et ainsi de suite jusqu’à, enfin, disparaitre. Les 100 niveaux du jeu sont tous différents et vous demanderont de combiner réflexes, réflexion et rapidité comme le chrono vous menace en permanence.
En solo le jeu est vraiment difficile mais j’ai trouvé cette difficulté agréable (Big up à toi Dark Souls si tu nous regardes) et le fait de comparer ses scores avec ses potes vraiment cool. En coop, à deux simultanément, Pang Adventures devient bien plus facile car, en plus d’être deux à lutter contre les ballons, il est possible de réanimer son pote quand il se fait toucher… Il devient alors plus facile d’avancer dans les niveaux et d’exploser la dizaine de bosses du jeu. « Plus facile » mais pas facile. Soyons clairs !
Bref j’ADORE Pang Adventures et son petit prix aussi ! Préférez tout de même une version console ou PC car, sur mobile, c’est sympa mais le contrôle tactile reste bien moins précis qu’un pad et, au bout d’un moment, ça commence à se faire ressentir.