«Un cycle qui se termine» : Chris Martin qualifiait de la sorte le dernier album de Coldplay «A Head Full of Dreams», sorti en 2015. Et il semble que l’artiste soit à un tournant de sa vie. Dans une interview au Sunday Times, il est revenu sur la longue dépression qui a suivi sa séparation avec Gwyneth Paltrow.
En 2014, le couple annonçait son divorce après 12 ans de mariage et deux enfants, Apple, 11 ans et Moses, 9 ans. Si la séparation se faisait d’un commun accord, les choses n’ont pas été toutes roses pour le leader du groupe Coldplay.
Nouvel amour pour une nouvelle vie
«J'ai vécu un merveilleux divorce-séparation. C'est un divorce mais un divorce étrange», a alors affirmé Chris Martin au Sunday Times ce dimanche 20 mars. L’artiste de 39 ans avoue ensuite avoir souffert d’un épisode de dépression assez sérieux.
Et c’est grâce à la littérature qu’il est remonté à la surface. Et en particulier via l’œuvre du poète persan Rumi, auteur de La Maison d’Hotes : «ce poème a tout changé, affirme l'ex-mari de Gwyneth Paltrow. Il y est écrit que lorsqu'on est malheureux, c'est, au final, bénéfique». Il ajoute : « j'ai mis un an à le comprendre. Il m'arrive encore souvent de me réveiller déprimé, mais désormais, j'ai l'impression d'avoir les outils pour m'en sortir ».
En 2014, le couple annonçait son divorce après 12 ans de mariage et deux enfants, Apple, 11 ans et Moses, 9 ans. Si la séparation se faisait d’un commun accord, les choses n’ont pas été toutes roses pour le leader du groupe Coldplay.
Nouvel amour pour une nouvelle vie
«J'ai vécu un merveilleux divorce-séparation. C'est un divorce mais un divorce étrange», a alors affirmé Chris Martin au Sunday Times ce dimanche 20 mars. L’artiste de 39 ans avoue ensuite avoir souffert d’un épisode de dépression assez sérieux.
Et c’est grâce à la littérature qu’il est remonté à la surface. Et en particulier via l’œuvre du poète persan Rumi, auteur de La Maison d’Hotes : «ce poème a tout changé, affirme l'ex-mari de Gwyneth Paltrow. Il y est écrit que lorsqu'on est malheureux, c'est, au final, bénéfique». Il ajoute : « j'ai mis un an à le comprendre. Il m'arrive encore souvent de me réveiller déprimé, mais désormais, j'ai l'impression d'avoir les outils pour m'en sortir ».