Depuis le début de la crise sanitaire, les influenceurs sont de plus en plus nombreux à déménager à Dubaï. Nabilla, Caroline Receveur, Jazz, Jessica Thivenin, Manon Marsault... Les influenceuses vivent leur meilleure vie dans la cité-Etat. Des millions d’abonnés adorent suivre leur quotidien de rêve dans la ville de luxe.
En avril dernier, C8 a même consacré un documentaire à ce phénomène intitulé «Influenceurs une vie de rêve à Dubaï». L’humoriste Marie s’infiltre s’est, elle aussi, intéressée de près à ceux qui vivent dans la capitale des Emirats Arabes Unies, en jouant à la riche influenceuse dans une série de vidéos sur YouTube.
Le phénomène intéresse un large public et donne même envie à certains de déménager au plus vite là-bas. Zoom sur ce choix des influenceurs français richissimes.
Quels sont les avantages de la vie à Dubaï?
Le décor est tout d’abord idéal pour les influenceurs. Dubaï regorge de bâtiments futuristes et de cadres architecturaux impressionnants et luxueux. Cet endroit très convoité a une météo incroyable et permet d’être à la fois à la plage et à la ville. De quoi faire des posts Instagram qui font rêver les abonnés.
L’autre atout de Dubaï est sa fiscalité. Les influenceurs ne paient pas d’impôt sur leurs revenus. De quoi motiver à faire de plus en plus de placements de produits. Caroline Receveur, a même, par exemple, développé sa propre marque de cosmétiques Osée Beauté.
Nabilla, Jessica Thivenin… Combien sont-elles payées?
Les influenceurs ont réussi à se forger une fortune incroyable grâce à leurs placements de produits et leur train de vie à Dubaï.
D'après le magazine Public, Nabilla facture 6 000 euros chacun de ses posts sponsorisés. Elle pourrait donc gagner, juste avec Instagram, près de 190 000 euros par mois.
Jessica Thivenin, elle pourrait empocher 180 000 euros tous les mois. La candidate des Marseillais en 2004 devrait également se constituer un petit pécule en plus grâce à ses marques de bougies et parfums. Jazz, quant à elle, n’a pas hésité à avouer à Marie S’infiltre que son salaire s’élevait à plus de 300 000 euros par mois.