Renée Zellweger croise les doigts pour que l'aventure Bridget Jones ne s'arrête pas là. Vingt ans après avoir incarné pour la première fois l'héroïne maladroite et attachante, la comédienne se sent toujours aussi proche de son personnage. "C'est une vieille amie", a-t-elle confié à la BBC lors de l'avant-première du film à Londres.
Très émue, l'actrice a surtout avoué être "dans le déni". Elle n'a, en effet, "pas encore bien assimilé" l'idée d'une fin pour la saga. "Laissez-moi vivre dans le déni encore un peu", a-t-elle plaisanté.
Une équipe soudée
Selon la BBC, aucun projet de suite n'est actuellement en développement mais l'auteure des romans, Helen Fielding, ne ferme pas complètement la porte. Ce nouvel opus, inspiré en partie par le deuil qu'elle a elle-même traversé après la perte de son compagnon Kevin Curran en 2016, nous montre une Bridget Jones veuve, devenue mère célibataire et confrontée aux défis des rencontres modernes.
Un récit "magnifique et le plus personnel pour Helen", selon Renée Zellweger. L'actrice, qui se dit "très, très chanceuse d'avoir obtenu le rôle" et qui a surtout "essayé de ne pas se faire virer", semble partager une réelle complicité avec le reste de l'équipe.
Dans "Bridget Jones : Folle de lui", Hugh Grant, le fameux Daniel Cleaver, est perçu sous un jour différent. De quoi relancer les spéculations sur un éventuel cinquième film ? Seul l'avenir nous le dira.
