Le troisième opus de Zaho, «Le monde à l’envers», dans lequel figure son hit «Tant de chose»
est sorti le 17 février dernier. Le choix du nom de l’album ou encore
son morceau «Je rentre à la maison», la chanteuse est venue nous parler
de ce projet et notamment de ses différentes inspirations musicales pour
le créer.
«Tout ça, ça fait partie de moi, de ma personne, de ce que j’écoute. Si on fouille dans mon téléphone, on va trouver autant du Adèle que du Drake que du The Weeknd, Sting, Nirvana. Étant donné que j’écoute tout ça, et je pense que c’est le cas de pas mal de gens, je pense qu’il ne faut pas mettre de limites dans le style musical. Faut que ça soit cohérent et que ça appartienne au même univers»
«Tout ça, ça fait partie de moi, de ma personne, de ce que j’écoute. Si on fouille dans mon téléphone, on va trouver autant du Adèle que du Drake que du The Weeknd, Sting, Nirvana. Étant donné que j’écoute tout ça, et je pense que c’est le cas de pas mal de gens, je pense qu’il ne faut pas mettre de limites dans le style musical. Faut que ça soit cohérent et que ça appartienne au même univers»
Vidéo : Zaho : «Je pense qu’il ne faut pas mettre de limites dans le style musical»
Zaho : «Je suis un être humain qu’on apprécie pour ses qualités et ses défauts»
L’interprète de «C’est Chelou» dresse le constat du «selfie» et de ses conséquences sur nos interactions sociales dans son morceau du même nom. Mais derrière son titre «Je rentre à la maison», se cache une histoire un peu plus personnelle.
«C’est l’expression juste pour dire: j’en ai ras le bol, je rentre chez moi. Là où je me sens aimée, appréciée pour ce que je suis. Là où je ne suis pas un profil, un statut, ni une star. Je suis un être humain qu’on aime, qu’on apprécie pour ses qualités et ses défauts. C’est le revers de la médaille, la face cachée de la célébrité».
L’interprète de «C’est Chelou» dresse le constat du «selfie» et de ses conséquences sur nos interactions sociales dans son morceau du même nom. Mais derrière son titre «Je rentre à la maison», se cache une histoire un peu plus personnelle.
«C’est l’expression juste pour dire: j’en ai ras le bol, je rentre chez moi. Là où je me sens aimée, appréciée pour ce que je suis. Là où je ne suis pas un profil, un statut, ni une star. Je suis un être humain qu’on aime, qu’on apprécie pour ses qualités et ses défauts. C’est le revers de la médaille, la face cachée de la célébrité».