Quand ce n’est pas Forbes qui cite Taylor Swift parmi les personnalités les plus puissantes du monde, c’est l’édition américaine de Vanity Fair qui s'y colle. Le magazine a en effet consacré la chanteuse numéro un de sa liste «Powers That Be». Il faut dire que cette année, la belle a fait très fort. D’un côté, ses ventes sont de l’ordre de l’incroyable dans une industrie qu’on dit constamment morose depuis l’arrivée de l’ère numérique.
Pour TayTay, c’est comme si ça ne l’atteignait pas. Ses albums se vendent comme des petits pains, ses tournées affichent complet à travers le monde et sa présence sur les réseaux sociaux est sans appel. Même Kim Kardashian a dû s’incliner.
Une force de persuasion
Mais Taylor Swift, ce n’est pas qu’un chiffre d’affaire extraordinaire, c’est aussi une tête bien pleine qui assume ses convictions. Elle a ainsi refusé de céder gratuitement ses chansons et a su faire plier le géant Apple qui s’est excusé publiquement de la proposition qui avait été faite de ne rémunérer aucun artiste pendant les 3 mois du lancement de sa plateforme.
Et Vanity Fair ne s’y est pas trompé. «Taylor Swift n’est pas uniquement la popstar préférée au monde, obtenant des ventes à peine croyables à l’ère post-Napster – elle utilise aussi sa plateforme pour que les plus grandes sociétés se plient à ses désirs», peut-on lire dans le magazine. Ce que Taylor Swift veut, Dieu veut ? Faut croire…
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