Dire non à Rita Ora est une chose vaine. La superstar a expliqué que sa maison de disque de l’époque ne croyait pas qu’une tournée aux Etats-Unis serait utile lorsqu’elle a sorti son premier album, «Ora», en 2012. L’album n’était en effet pas sorti aux USA, mais pour l'interprète de «Your Song» , il était important qu’elle s’y produise malgré tout.
«Mon équipe à l’époque pensait que ce n’était pas une bonne idée, que ça serait une perte de temps, raconte la chanteuse à l’Associated Press. Je ne pensais pas la même chose parce que ma présence en ligne a gonflé drastiquement… L’équipe me disait: ‘’On ne t’aide pas, on ne peut pas le faire. On ne va pas mettre d’argent là-dedans’’.»
Rita Ora s’assume
Résultat, devant le refus de son label, la grande fan de Madonna, a tout simplement mis la main à la poche. «J’ai dit ‘’Ok! Je mettrais mon propre argent dedans’’. Et c’est ce que j’ai fait», a-t-elle expliqué. Et la superstar n’a pas fait qu’ouvrir son portefeuille.
Elle a proposé à une autre superstar de l’accompagner sur scène. «J’ai téléphoné à Iggy (Azalea)… Elle est venue en tournée avec moi. On avait tellement un petit budget, on avait un tout petit bus de tournée. Je crois qu’à un moment on a même partagé un micro… Et vous savez quoi, chaque concert était complet», détaille Rita Ora.
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