Après avoir exploré l’amour sous toutes ses facettes dans ses chansons, qu’il s’agisse d’amour de soi avec "Summer Body" ou de son regard sur les "gentils garçons" et "mauvais garçons" avec ses deux derniers singles, Helena s’est confiée au micro de Konbini sur sa vision des relations amoureuses et ses expériences personnelles.
Un coup de foudre à l'origine de "Mauvais Garçon" ?
Interrogée par le journaliste Flavio Sillitti sur sa croyance en ce fameux "coup de foudre", Helena avoue être partagée : "Je suis un peu mitigée", explique-t-elle avant d'en expliquer les raisons : "J’ai l’impression que ce n’est pas durable".
Elle revient notamment sur l’histoire qui a inspiré son titre "Mauvais Garçon" : "Je crois que ‘Mauvais Garçon’, c’était un coup de foudre. Parce que je l’avais vraiment vu, genre, sa photo de profil Facebook. Et je voulais lui parler. C’était mon objectif. Même, qu’il vienne me parler", se souvient-elle. Mais fidèle à elle-même, Helena précise en riant : "Moi je ne veux pas faire le premier pas."
Helena : "Chez moi, ça n’a pas fonctionné"
Finalement, la chanteuse voit le coup de foudre comme une émotion trop extrême pour être saine : "Je ne crois pas que ce soit une bonne chose. Je crois qu’ils sont trop intenses et je pense que ce n’est pas bien. On dit toujours : ‘il ne faut pas être dans l’excès’. Ni trop, ni pas assez. Et un coup de foudre, pour moi, c’est TROP." Une conclusion sans appel, même si Helena précise ne pas détenir la vérité absolue sur le sujet : "Chez moi, ça n’a pas fonctionné en tout cas."
Alors, le coup de foudre ? Magique pour certains, trop intense pour d’autres. Une chose est sûre : Helena, elle, préfère prendre son temps.