DJ et producteur néerlandais, Sander Van Doorn fait partie des plus grands DJ au monde. Avec ses sets puissants et son style éclectique, il met le feu aux festivals et clubs du monde entier.
En 2015, Sander Van Doorn revient en force avec « Lost » et « White Rabbit ».
Débuts derrière les platines
Sander Van Doorn est né le 28 février 1979 à Eindhoven aux Pays-Bas. Dès 2003, Sander Van Doorn commence à se faire connaître avec ses sons trance, électro et techno, d’esprit assez sombre. Il se cache sous divers pseudos, Sam Sharp, Purple Haze, Filterfunk et Sandler.
En 2005, il sort le bootleg « Filterfunk - SOS (Message In A Bottle) », remix du hit de The Police. Le titre tourne sur toutes les radios. En 2006, Sander Van Doorn est déjà reconnu pour ses talents techniques derrière les platines. Il est alors classé 32e meilleur DJ au monde.
Un premier album remarqué
C’est en 2008 qu’il sort un premier album sur le label Spinnin’. Intitulé « Supernaturalistic », il contient 13 titres aux ambiances très différentes et notamment le single « Riff ». Avec le mélange des styles qui a fait son succès, Sander Van Doorn est vu comme un précurseur. Il enchaîne alors avec une tournée mondiale et reçoit de nombreux prix, dont celui du Révélation de l’année à la Winter Music Conference de Miami ou du meilleur DJ Electro House en 2009 à Ibiza.
Sander Van Doorn propose alors de nombreuses productions, remixées par des grands noms de l’électro tels que Tiësto, Armin Van Buuren ou Carl Cox. Ses titres « Bastillon », « Ninety » ou « Bliksem » tournent en boucle dans les clubs. A l’été 2010, il devient résident au célèbre Amnesia à Ibiza, où se produisent déjà les plus grands DJ au monde.
Il apparaît en tête d’affiche à de nombreux festivals à travers le monde, comme le Bal en Blanc à Montreal, Electric Zoo à New York ou Transmission à Prague. Il enchaîne les succès avec les titres « Renegade », « Daisy », « Reach Out », « Hymn 2.0 » ou « Daddyrock » qui se classent tous au sommet du classement Beatport.
De la trance à la house
En septembre 2011, il revient avec l’album « Eleve11 » qui délaisse la trance et marque un tournant électro house qui se reflète dans ses sets. Les morceaux « Love Is Darkness » et « Koko » deviennent des hits tandis que la nouvelle version de compilation « Dusk till Doorn » lui permet de décrocher un prix Silver Harp, l’équivalent des Victoires de la Musique néerlandaises.
En mars 2012, Sander Von Doorn présente son nouveau single « Nothing Inside » lors d’un set à Miami. Le titre se classe dans les charts dans de nombreux pays. En août 2012, sa présence est annoncée sur la bande originale d’Halo 4.
Le succès
En janvier 2013, il sort le single « Joyenergizer », entre techno tribale et sonorités électro, qui devient son plus grand hit. Sander Von Doorn enchaîne les sets dans les plus grands festivals au monde.
Il a le droit à son show radio, Identity, sur Digitally Imported, et sort également les hits « Neon », « Project T » avec Dimitri Vegas & Like Mike ainsi que « Direct Dizko ». Il crée également son label, DOORN Records.
Les hits s’enchainent
En 2014, Sander Van Doorn sort, avec Martin Garrix, le hit « Gold Skies ». Il se classe dans le top 50 de nombreux pays, et décroche la 19e place du classement électronique du Billboard. Il sort ensuite sur DOORN « Get Enough », « THIS » ou encore « Rage », en duo avec Firebeatz.
Retour en force en 2015
Au mois de novembre, il fait équipe avec MOTI pour le morceau « Lost ». C’est d’emblée un immense succès, et le clip est visionné plus d’un million de fois sur YouTube en mois d’un mois. Martin Garrix, Armin van Buuren ou encore Tiësto en sont fans.
Quelques semaines plus tard, c’est au tour de « White Rabbit », une reprise de Jefferson Airplane en collaboration avec Pep & Rash, de sortir. Groovy et futuriste, le titre s’apprête lui aussi à mettre le feu aux pistes de danse.