En 2010, Mohombi a fait une arrivée fracassante sur la scène musicale internationale grâce à son titre Bumpy Ride, un tube à la mélodie ravageuse et aux accents dancehall. C’est le producteur RedOne qui remarque le DJ suédo-congolais et qui le signe sur son label. Mais avant d’être Mohombi ; le jeune homme avait fait ses marques à la tête du groupe Avalon. La formation s’amuse à mélanger les sonorités diverses, à mi chemin entre le hip hop et les rythmes africains. Le succès en Suède et en Afrique est au rendez-vous. La consécration, le groupe l’obtient en 2003 en remportant un Grammy aux Kora All African Music Awards.
Le virus de la musique se propage à vitesse grand V dans l’organisme de Mohombi, ce qui n’était qu’un emploi partiel deviendra un travail de tout temps par la suite. Le jeune homme s’investira alors tout entier dans l’écriture de chansons, et deviendra un auteur-compositeur très demandé. En 2009 il signe par exemple le titre « Come be my lady » pour le groupe coréen Big Bang. Un succès.
Succès international
En 2010, Mohombi décide de rouler pour lui-même. Il tape dans l’oreille du hitmakers marocain RedOne qui lui offre la possibilité de sortir un album sur son label. Le premier single est un carton, mélange de pop et dancehall. « Bumpy Ride » fait danser l
Le virus de la musique se propage à vitesse grand V dans l’organisme de Mohombi, ce qui n’était qu’un emploi partiel deviendra un travail de tout temps par la suite. Le jeune homme s’investira alors tout entier dans l’écriture de chansons, et deviendra un auteur-compositeur très demandé. En 2009 il signe par exemple le titre « Come be my lady » pour le groupe coréen Big Bang. Un succès.
Succès international
En 2010, Mohombi décide de rouler pour lui-même. Il tape dans l’oreille du hitmakers marocain RedOne qui lui offre la possibilité de sortir un album sur son label. Le premier single est un carton, mélange de pop et dancehall. « Bumpy Ride » fait danser l
