On l’avait découvert l’année dernière grâce à son hit «El Mismo Sol», Alvaro Soler a connu un succès planétaire quelques mois plus tard suite à la diffusion de «Sofia». Dès la sortie de ce morceau, bon nombre de fans se demandaient qui se cachait derrière ce titre. Pour NRJ, l’artiste espagnol a accepté de dévoiler l’identité de la mystérieuse personne derrière «Sofia»
«« Sofia » fait référence à une histoire d’amour qui s’est mal finie il y a quelques années. J’ai voulu faire un mélange entre cet épisode triste et le côté festif de la mélodie et appuyer sur ce contraste. L’idée, c’est que quand tu traverses une mauvaise passe, il faut aller de l’avant. « Sofia » c’est un prénom que j’ai pris au hasard, car je ne voulais pas utiliser le nom de la personne à l’origine de tout cela.»
«« Sofia » fait référence à une histoire d’amour qui s’est mal finie il y a quelques années. J’ai voulu faire un mélange entre cet épisode triste et le côté festif de la mélodie et appuyer sur ce contraste. L’idée, c’est que quand tu traverses une mauvaise passe, il faut aller de l’avant. « Sofia » c’est un prénom que j’ai pris au hasard, car je ne voulais pas utiliser le nom de la personne à l’origine de tout cela.»
Vidéo : Alvaro Soler : «je m’inspire toujours de mes expériences personnelles»
Alvaro Soler : «quand tu traverses une mauvaise passe, il faut aller de l’avant»
Le chanteur espagnol ne dévoilera donc pas le véritable nom de la personne derrière «Sofia». Mais qu’importe, il préfère se concentrer sur ce qui est le plus important pour lui : sa musique mais surtout ses sources d’inspirations.
«Pour les paroles, je m’inspire toujours de mes expériences personnelles et de mes voyages. Et pour la musique, j’utilise régulièrement des instruments qui viennent d’un partout comme des percussions africaines. J’en ai aussi ramené de mon voyage à Cuba. Sur mon album, on entend aussi un omnicord. C’est une sorte de piano japonais qui ressemble à une grosse gameboy. Ça donne un son très vintage. Aujourd’hui, tout passe par des ordinateurs et on perd un peu la magie de la musique, c’est ça que j’adore ces vieux instruments.»
Le chanteur espagnol ne dévoilera donc pas le véritable nom de la personne derrière «Sofia». Mais qu’importe, il préfère se concentrer sur ce qui est le plus important pour lui : sa musique mais surtout ses sources d’inspirations.
«Pour les paroles, je m’inspire toujours de mes expériences personnelles et de mes voyages. Et pour la musique, j’utilise régulièrement des instruments qui viennent d’un partout comme des percussions africaines. J’en ai aussi ramené de mon voyage à Cuba. Sur mon album, on entend aussi un omnicord. C’est une sorte de piano japonais qui ressemble à une grosse gameboy. Ça donne un son très vintage. Aujourd’hui, tout passe par des ordinateurs et on perd un peu la magie de la musique, c’est ça que j’adore ces vieux instruments.»