Kate Bosworth rêve encore de devenir étudiante à l’université de Princeton. La comédienne avait été acceptée dans la prestigieuse université américaine, mais elle avait préféré se concentrer sur sa carrière à l’époque. Elle avait promis à sa mère qu’elle se donnerait un an à Hollywood, et elle n’a pas eu besoin de plus pour décoller, notamment avec le film Blue Crush. « Je n’avais jamais posé les pieds sur une planche de surf, et voilà que je me retrouvais à Oahu (à Hawaï) devant des vagues de 6 ou 9 mètres en décembre en train de me dire, ”Je sais que j’ai dit que je pouvais le faire, mais je n’en suis plus si sûre”, a-t-elle expliqué à The Talk. Puis je me suis mise au boulot et j’ai réalisé que c’était ça que je voulais vraiment faire. » Cependant, Princeton ne lui a jamais fermé ses portes, et l’université l’avait invitée à la rejoindre plus tard si elle en avait envie, et elle y pense encore. « Ils ont été très gentils, a-t-elle confié. Ils m’ont dit, ”Si vous voulez revenir, la porte vous est ouverte”. Donc on ne sait jamais. »
En déménageant à Los Angeles, Kate Bosworth a perdu pas mal d’amis qu’elle espérait retrouver un peu plus tard. Elle n’a pas forcément bien vécu sa nouvelle vie, et sans l’aide d’une conseillère, elle n’en serait pas là où elle en est aujourd’hui. « Elle m’a donné des outils importants pour comprendre qui je voulais être, sans souffrir trop des bosses et des bleus qui vous attendent en grandissant. Je ne suis pas allée à la fac, donc je me suis directement retrouvée face à ça : ”Tu paies ton loyer, tu vas aux castings, tu te fais remarquer”, à 18 ans. Si je peux me permettre un conseil : trouvez-vous des mentors, autant que possible. J’ai commencé trop jeune et j’ai dû un peu me battre. J’ai trop gardé les choses pour moi. J’ai baissé la tête et j’ai foncé dans le tas, et j’aurais dû demander un peu plus conseils », avait déjà expliqué Kate Bosworth à The Edit.