A Kensington, quartier de Philadelphie en proie à la crise des opioïdes, la policière Mickey mène l'enquête sur des meurtres qui pourraient la toucher personnellement. C'est le résumé de la nouvelle série diffusée sur la plateforme Max avec, en tête d'affiche, l'actrice Amanda Seyfried que l'on retrouvera prochainement dans l'adaptation attendue du best-seller "La Femme de ménage".
Thriller policier prenant sur fond de crise sanitaire aux Etats-Unis liée à la consommation de drogues de synthèse, "La Rivière des disparues" est également l'adaptation du livre du même nom signé Liz Moore.
Pour NRJ, l'actrice principale évoque les différents aspects de la série de huit épisodes, diffusée depuis le 27 mars sur Max, qu'il s'agisse de l'intrigue, de l'histoire familiale qu'elle raconte mais aussi du contexte social qu'elle dépeint.
"Le lien fraternel est fascinant pour moi"
Bien que tournée à New York, "La Rivière des disparues" apparaît très réaliste grâce au travail minutieux de la production, qui a pris soin de reproduire le plus fidèlement possible le quartier difficile situé au nord de Philadelphie.
"Le concepteur de la production a tout copié, explique Amanda Seyfried. La seule chose que nous n'avons pas pu rendre parfaite, c'est la couleur des rails du train que nous n'avons pas pu peindre."
C'est dans ce décor que le personnage de Mickey se confronte à son histoire familiale, une dimension de l'œuvre qui résonne auprès de l'actrice : "le lien fraternel est fascinant pour moi. Et comme j'ai une sœur et que Mickey a une sœur aussi, il y a beaucoup de parallèles dans ce domaine (…) J'aime l'esprit de ce type de relation. J'apprends toujours quelque chose sur le partage générationnel".
"La Rivière des disparues" est à découvrir sur la plateforme Max.