Déjà quatre mois que Taylor Swift redonne le sourire à ses fans grâce à son album «Folklore», sorti au mois de juillet dernier. Cet opus surprise fait partie des plus grands succès de la superstar. TayTay vient, en effet, d’être nommée dans six catégories aux Grammy Awards pour son projet. La chanteuse est également restée près de huit semaines au sommet du Billboard 200.
Taylor Swift a voulu remercier ses fans pour leur soutien en partageant la présentation en live de son dernier album. Le documentaire et concert «Folklore: The Long Pond Studio Sessions» est disponible depuis, hier, mercredi 25 novembre, sur la plateforme Disney+.
L’occasion d’en apprendre davantage sur la création de «Folklore». Zoom sur les confidences croustillantes de Taylor Swift dans son documentaire.
Taylor Swift: William Bowery est Joe Alwyn
Depuis la sortie de «Folklore», en juillet dernier, beaucoup de fans se sont demandé qui était le mystérieux «William Bowery», crédité sur l’opus de Taylor Swift. La chanteuse vient, enfin, de confirmer qu’il s’agit bien d’un pseudonyme pour son chéri, Joe Alwyn! «Il y a eu beaucoup de discussions autour de William Bowery et son identité, parce que ce n’est pas une vraie personne.», raconte la chanteuse dans son film pour Disney+. «Donc, William Bowery est Joe, comme on le sait. Et Joe joue du piano magnifiquement. Il était en train de jouer et de créer des trucs…Pour ‘Exile’ c’était fou parce que Joe a écrit cette partie entière au piano et a chanté le couplet de Bon Iver.» Joe Alwyn a donc bien travaillé avec Taylor Swift sur deux de ses récents hits, «Exile» chanté en duo avec Bon Iver et «Betty».
Taylor Swift: «Mirrorball» a été écrite après l’annulation de sa tournée
«J’ai écrit cette chanson juste après avoir appris que mes concerts allaient être annulés», explique Taylor Swift à propos de «Mirroball» dans son documentaire. Alors que la situation sanitaire exigeait de mettre en pause sa carrière, la chanteuse ne voulait pas pour autant se reposer sur ses lauriers.
«J’ai réalisé que j’étais là en train d’écrire de la musique, en train d’essayer et je sais que j’avais une excuse pour me reposer et ne rien faire mais je ne peux pas.», détaille-t-elle.
Taylor Swift : «Folklore» n’est pas autobiographique
La chanteuse a pour habitude de s’inspirer de sa vie privée pour écrire des chansons. Mais «Folklore» serait un peu différent de ses précédents opus. «C’est la première fois que j’ai laissé tomber mon besoin d’être 100% autobiographique. Parce que je pense que j’avais besoin de faire ça. J’ai eu l’impression que les fans avaient besoin d’entendre des extraits des gros titres des journaux sur ma vie et ça m’a un peu restreinte finalement.» explique-t-elle en studio pour Disney+. «Ça a été ma chose préférée de cet album. Il a la chance d’exister pour lui-même et non pas parce que ‘’oh les gens l’écoutent parce qu’ils veulent tout savoir de ce que disent les tabloids.»
Taylor Swift s’est inspirée de la série sur Michael Jordan «The Last Dance»
Dans le titre «Epiphany», Taylor Swift fait un parallèle entre la vie de son grand-père durant la seconde guerre mondiale et ce que les soignants vivent depuis le début de la pandémie. La chanteuse aurait pu en réalité chanter une histoire sur le sport puisqu’elle avoue avoir regardé la minisérie «The Last Dance», sur Netflix, à ce moment-là.
Taylor Swift rêve de s’évader dans un chalet
L’artiste américaine explique dans«Folklore: The Long Pond Studio Sessions» qu’elle aurait imaginé un plan de secours au cas où elle voudrait oublier sa vie actuelle et disparaitre des radars. Elle rêverait alors de s’enfuir dans un chalet. La chanson «The Lakes» ferait référence à ce doux rêve qu’elle a eu lors d’un voyage dans le Lake District.