Un duo de choc! Entre Taylor Swift et Joe Alwyn, c’est une histoire qui roule. Assez discrets sur leur couple, les deux amoureux partagent de nombreuses choses ensemble, et ce depuis plusieurs mois. L’acteur américain a même aidé sa chère et tendre à composer plusieurs titres de ses derniers albums «folklore» et «Evermore».
Plus connu sous le pseudonyme William Bowery, le jeune homme a été d’une aide précieuse dans la confection de certains titres, comme «Champagne Problems», «Evermore» ou encore «Coney Island».
Comme le rapporte Taylor Swift lors d’une interview accordée à Zane Lowe, tout ceci n’aurait pas été possible sans le confinement: «Il joue toujours de plusieurs instruments et il ne le fait pas dans un but stratégique ‘’J’écris une chanson en ce moment’’. Mais il a toujours fait ça. Mais est-ce que je pense que nous aurions franchi le pas de ‘’Hé, voyons s’il y a une chanson là-dessous. Et si on écrivait une chanson ensemble?’’ Si nous n’avions pas été en confinement, je ne pense pas que ça se serait produit, mais je suis tellement heureuse que ça se soit fait», déclare-t-elle.
Taylor Swift et Joe Alwyn: sur la même longueur d’ondes
Il semblerait que Taylor Swift et Joe Alwyn se soient vraiment bien trouvés. Les deux tourtereaux ont la même vision des choses: «Joe et moi aimons les chansons tristes. On est toujours liés par la musique. On écrit sur la tristesse. Nous aimons vraiment les chansons tristes. Que puis-je dire d’autre?»
Joe Alwyn est également une source d’inspiration pour Taytay: «C’est toujours lui qui me fait écouter des chansons d’artistes qui ensuite deviennent mes morceaux préférés.» Et si Taylor Swift devait donner sa chanson préférée de «Evermore» composée avec Joe Alwyn, sans hésitation, elle choisirait «Champagne Problems».
Notamment à cause du pont, ce court passage qui sert de transition entre deux parties d’une chanson: «C’est l’un de mes ponts préférés à écrire. J’aime vraiment quand on raconte toute l’histoire dans un seul pont, comme si on changeait vraiment de vitesse sur ce pont-là.»