Selena Gomez a été la première personne à être suivie par plus de 110 millions d'abonnés sur Instagram, franchissant ce seuil historique voilà un an. Aujourd'hui en couverture du célèbre magazine américain Time, elle réfléchit sur ce que les réseaux sociaux lui ont apporté, en bien comme en mal.
L'édition en ligne du Daily Mail rapporte des extraits de l'interview, dans laquelle elle explique que selon elle, «il est très difficile d'être un jeune de nos jours, surtout avec les réseaux sociaux. Je ne peux pas imaginer ce que ce doit être de grandir comme ça. C'est déjà assez difficile de se lever le matin et d'être bien dans sa peau, alors si en plus on voit tous les bons moments des autres... C'est pour ça que j'aime montrer ma vulnérabilité à mes fans sur les réseaux sociaux. J'aime qu'ils voient mes erreurs».
Selena Gomez, une star tourmentée
Selena Gomez était entrée en centre de soin en 2016, pour gérer sa dépression et son anxiété liées au lupus, une maladie auto-immune dont elle est affligée. Selon elle, c'est sa mère qui l'a aidée à s'en sortir.
«Quand j'ai commencé à travailler dans l'industrie, étant enfant, elle était là pour me guider et m'aider. J'ai compris qu'être actrice était un métier, que j'allais m'amuser, que j'allais aimer ça, et que si je n'aimais plus, j'arrêterais. Et j'allais aussi à l'école», ajoute-t-elle. Tant de franchise, ça fait du bien!
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