Selena Gomez se confie sur la pression des médias: "C'est devenu incontrôlable"

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En couverture du numéro d'avril du magazine Interview, Selena Gomez a accordé une interview sans tabou concernant la pression des médias, la sortie de son nouvel album "Rare" mais aussi son rapport à la maladie.

Alors qu'elle continue la promotion de son nouvel album baptisé "Rare" - dont l'édition deluxe a été dévoilée il y a quelques jours avec trois nouveaux morceaux inclus - Selena Gomez enchaîne les entretiens pour divers médias.

L'interprète de "Lose You To Love Me" a ainsi posé en couverture du magazine Interview. Au fil des pages, la chanteuse s'est confiée sur les récents événements de sa vie, ses déceptions amoureuses, sa maladie, la sortie de son projet musical inédit mais aussi son rapport aux médias.

Et l'artiste est visiblement lassée de la pression exercée par la presse people qui relate sans cesse sa vie privée: "Mon intention n'a jamais été de devenir un tabloïd, a-t-elle expliqué. C'est devenu incontrôlable. Et puis je me suis dit: 'Attendez, rien de tout ça n'est vrai'. La façon dont les médias ont essayé d'expliquer les choses sonnait vraiment mal, alors qu'en réalité il n'y a rien de mal au fait de devoir partir ou de tomber amoureux. J'ai dû commencer à m'ouvrir parce que les gens commençaient à parler à ma place et cela me tuait. Je suis si jeune et je vais continuer à changer, et personne n'a le droit de me dire comment va ma vie".

Selena Gomez évoque sa santé

Désormais, Selena Gomez reste prudente vis à vis des médias, mais aussi des réseaux sociaux concernant sa vie privée. Mais si la chanteuse est particulièrement réservée quant à sa vie sentimentale, l'artiste est plus ouverte lorsqu'il s'agit d'évoquer sa santé dans la presse.

Comme en témoignent ses confidences, elle tient avant tout à être un exemple pour ses fans: "Parfois, ça a été mauvais pour ma carrière, mais d'autres fois, je peux dire que: 'maintenant, je peux parler de choses comme ma dépression et mon anxiété, des choses avec lesquelles j'ai lutté et pour lesquelles je suis totalement ouverte, parce que je crois que ça peut aider.' Mais à part ça, ce qui me maintient debout, c'est que je fais de mon mieux pour l'éviter. Ce n'est pas comme si je ne vivais pas ma vie."