Ridsa: «Au bout d’un moment, j’ai oublié qui j’étais»

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Fier de son nouvel album intitulé «Vagabond», Ridsa a accepté de se confier sur l’élaboration de cet opus, sa pause musicale, et son retour sur scène. Découvrez son interview avec NRJ!

Personne n’est passé à côté du phénomène. Fort de ses hits «Laisser couler», «Pardon», «Là c’est die» ou encore «Je m’en fous», Ridsa connaît un véritable succès. Mais tout n’a pas toujours été facile pour l’artiste âgé de 28 ans…

Alors qu’il préparait son retour musical, deux ans après la sortie de «Libre», Ridsa a connu une mauvaise passe dans sa carrière«J’ai décidé de ne plus donner de nouvelle, de m’enfermer un petit peu, de retrouver ma famille, de retourner là où j’ai grandi, histoire d’oublier un peu ‘Ridsa’, nous a-t-il confié. Au bout d’un moment, j’oubliais qui j’étais. Le personnage de Ridsa était trop rentré dans ma tête. J’en souffrais beaucoup parce que la lumière, tout ça, ce n’est pas ce qui m’attire et je ne suis pas très à l’aise avec ça. »

Ridsa se confie sur ses inspirations

Ridsa: un artiste aux multiples facettes

Afin de convaincre son public, Ridsa a souhaité évoquer divers thèmes à travers des sonorités variées: «J’ai toujours écouté de tout, a-t-il poursuivi. J’aurais pu mettre un reggae… Moi je voulais juste m’amuser sur cet album et je pense que c’est ça qui fait qu’il y en a dans tous les sens. Je n’ai pas suivi un schéma, pas de règles. Je me suis fait mon truc.»

C’est aussi à travers les paroles de ses morceaux que Maxence Boitez de son vrai nom a souhaité se confier sur son passé et ses débuts difficiles.

Ridsa évoque ses concerts!

Ridsa met le feu sur scène

Présent lors des NRJ Music Tour, Ridsa a l’habitude d’enflammer la scène. Aux côtés des spectateurs, qui chantent en chœur ses hits, l’artiste prend plaisir à mettre beaucoup d’ambiance lors de ses concerts: «J’ai un public très fidèle et j’ai des musiques qui se retiennent assez facilement, apparemment. Sur scène, à chaque fois, c’est un partage vraiment. Les gens chantent, s’amusent. Moi c’est le principal!»