La Science, c’est l’avenir! Nombreux sont ces films qui parlent des extra-terrestres, des astronautes et de leurs missions dans l’espace mais aussi de ces catastrophes naturelles qui nous menacent… Ce dernier sujet est un thème récurrent dans la filmographie de Roland Emmerich.
«2012», «Le Jour d’après» ou encore «Independence Day» sont signés par l’Allemand de 66 ans, qui adore raconter ces histoires fatalistes. Cette fois-ci dans «Moonfall», la Terre est en danger. La Lune peut s’écraser à tout moment sur la Planète Bleue… L’alerte est donnée par cette bande de scientifiques, qui va tout faire pour limiter les dégâts.
«Moonfall»: un film similaire à «Don’t Look Up»?
Interviewé par nos confrères du Parisien, le réalisateur allemand s’est exprimé sur «Moonfall»: «J’ai toujours dit que les scientifiques devraient veiller sur nous et nos destins. Ce sont eux les vrais spécialistes, les médecins, les physiciens, tous les autres, eux qui ont fait sept ou huit ans d’études. ‘’Don’t Look Up’’, le montre très bien: eux savent de quoi ils parlent, et nous devrions les écouter, plutôt que d’aller faire des recherches sur Internet et de se forger sa propre opinion», raconte-t-il dans les colonnes du quotidien.
Pas de doute, pour Roland Emmerich, la science est l’avenir de notre planète. Et ce genre de films peut réellement changer la donne: «Dans tous les films, même ceux de super-héros, il serait bon d’orienter les spectateurs vers la véracité scientifique. Moi, j’ai choisi de montrer des hommes et femmes de science à la fois intelligents, cool et drôles, comme K.C. Houseman, interprété par John Bradley, que j’avais découvert dans Game of Thrones, pour jouer l’un des héros. J’ai écrit le personnage pour lui, et il m’a comblé, il a été fantastique, il joue entièrement sur l’émotion tout en se montrant très drôle. C’est un pur acteur.»
«Moonfall», en salles dès aujourd’hui.