Des actifs en quête d’autonomie
Les travailleurs affichent massivement leurs velléités d’indépendance : freelance (Lire aussi : Métier freelance, les + et les -), micro-entrepreneur (Lire aussi : Et si vous deveniez auto-entrepreneur ?), start-upper… autant de statuts en plein boom, qui témoignent d’une véritable tendance au sein du marché de l’emploi.
Les verrous sautent, les modèles hiérarchiques s’effondrent
Et cela, c’est grâce à l’avènement des nouvelles technologies. Fini la vision pyramidale de la vie en entreprise, avec un grand chef en clé de voûte. Maintenant, celui qui a le pouvoir c’est celui qui partage l’information (et plus celui qui la détient), celui qui influence et plus celui qui ordonne).
Le « turn-over » a un coût
Contrairement aux idées reçues, la grande majorité des entreprises cherche à fidéliser ses employés. Parce que le processus de recrutement, la formation, et la productivité d’un salarié s’inscrivent dans le temps, il n’est pas rentable de devoir trouver et former en permanence des petits nouveaux.
Un salarié heureux travaille mieux
Des études scientifiques le prouvent. Comme celle menée par le département d’économie de l’Université de Warwick (Angleterre) qui a démontré que le fait d’être heureux au travail boostait la productivité d’un salarié de près de 12% (Lire aussi : Les jeunes heureux au travail, pour le bonheur de tous). On recrute même désormais des directeurs du bonheur (Lire aussi Comment devenir « Chief Happiness Officer (CHO) ? Interview ! ).
Flexibilité = agilité
La capacité d’adapter ses horaires aux besoins de chacun, sert un employé certes, mais aussi un employeur (Lire aussi : Tendance agile : décryptage). Si les deux antagonistes trouvent un terrain d’entente, c’est du sur-mesure, mais surtout du tout bénéf !
Cette souplesse fait certes rêver, mais suppose un engagement de chaque instant. Les rythmes de travail vont peut-être changer en terme de durée, mais en faveur de l’efficacité. Travailler à son rythme pour travailler mieux.