Pour ce cinquième volet, Harrison Ford et Phoebe Waller-Bridge jouent main dans la main. Parrain et filleule, les deux personnages passionnés d’Histoire se retrouvent en 1969. Après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, l'estimé docteur Jones, professeur d'archéologie, est sur le point de prendre sa retraite et de couler des jours paisibles. Mais tout bascule lorsqu’Helena Shaw décide de repartir à la conquête du fameux cadran d’Archimède, accompagnée de son oncle, un artefact rare confié par son père à Indy…
Un duo fusionnel
Pour raconter cette histoire, l’aventurier a exprimé son enthousiasme lors de cet entretien en affirmant ô combien il était admiratif de « la grande » Phoebe Waller-Bridge, notamment au sujet de son travail de réalisatrice sur la série « Fleabag ». En retour, l’interprète d’Helena Shaw a décrit ce que Harrison Ford représente pour elle.
Lorsqu’elle a poussé la porte du bureau de Jim Mangold pour le saluer pour la première fois, Phoebe Waller-Bridge avait le sentiment de rencontrer non seulement un grand acteur mais aussi tous les films qui l’ont marquée, comme « Witness », « Le Fugitif » ou encore « Blade Runner ». Un respect mutuel qui participe également à la réussite de ce cinquième et ultime volet de la saga signée Steven Spielberg.
Après 40 ans, Harrisson Ford se sent aujourd’hui reconnaissant d’avoir pu accompagner du début à la fin son personnage comme il le souhaitait, un rôle qui lui est resté fidèle au fil des années en dépit de l’évolution physique du comédien. Le cœur léger, l’acteur quitte avec gratitude son costume d’archéologue aussi perspicace qu’irrévérencieux et laisse derrière lui l’un des personnages les plus mythiques du 7e art.
« Indiana Jones et le Cadran de la Destinée » est à découvrir dès maintenant dans les salles de cinéma.