En août dernier sortait le hit «Reste» de Gims, en collaboration avec Sting. Un duo qui tenait à cœur au chanteur français, admiratif de son aîné: «Il est l’un des plus grands mélodistes (…) C’est une star que je n’aurais jamais imaginé approcher un jour!» Ce morceau, dont le clip a été tourné dans le métro de Lyon a été composé avec l’idée de coller aux mélodies du musicien britannique: «Je sais que, dans ce que je fais, il y a beaucoup de choses qui ressemblent à Sting. Le son ressemble à ce qu’il fait». Cette collaboration cartonne puisque le clip a récolté plus de 5 millions de vues en quelques jours.
Si côté musique, les projets de Gims semblent fonctionner, le rappeur de 33 ans n’oublie pas son engagement associatif. À la rentrée, l’artiste français a participé à une distribution de fournitures scolaires à Villeneuve-la-Garenne, pour l’association qu’il parraine, La Ruche et Acces: «Je voulais participer parce que moi j’aurais aimé qu’on me donne mon cahier, mon compas, etc. à la rentrée.»
Gims: sur tous les fronts!
Et l’engagement associatif de Gims ne s’arrête pas là. Un collectif appelé «Les 13 Salopards», devrait prochainement être lancé par le rappeur: «Ce serait de la musique avec des artistes que je vais solliciter (…) Ma priorité c’est les enfants, je ne sais pas encore avec qui je vais travailler mais en tout cas ça sera avec les enfants». Et la star souhaite mettre les choses au clair pour ceux qui lui reprocherait de copier Les Enfoirés: «Ce n’est pas une compétition je ne me place pas devant Les Enfoirés comme ça mais je pense qu’il n’y a pas de mauvaises compétitions dans le bien».
Quant aux projets annexes de la star, un documentaire sur la vie de Gims devrait bientôt voir le jour et sera diffusé sur Netflix.