Envie de tester un nouveau jeu de plateformes ? ScourgeBringer est fait pour vous !

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Titre 100 % français, ScourgeBringer est l’un des jeux indépendants dont on parle le plus en ce début d'année. Découverte de ce titre qui fait sensation sur Xbox One et ordinateur.

Un Rogue-like à la sauce plateformes

Développé par le studio français Flying Oak Games qui avait déjà réussi ses débuts avec NeuroVoider, ScourgeBringer fait partie des plus belles surprises sorties en indé en ce début d’année. Disponible en accès anticipé depuis le 6 février sur Xbox One (via le Xbox Game Pass) et sur Steam (pour les ordinateurs fonctionnant sous PC, Mac et même Linux). Édité comme NeuroVoider par Dear Villagers (du groupe français Plug In Digital), ScourgeBringer est à l’image de son prédécesseur un rogue-like orienté plateformes avec des graphismes en pixel art qui lui donne un côté à l’ancienne recherché par certains rétro-Gamers. On est donc davantage sur un Rogue Legacy que sur un Darkest Dungeon (jeu au tour par tour dans un style RPG avec des graphismes modernes).

ScourgeBringer, le jeu le plus vif de ce début d’année

Dans ScourgeBringer, on incarne Kyhra, une jeune guerrière amnésique qui a pour mission de sauver l’humanité d’un monolithe en train de détruire le monde. Dans cette ambiance post-apocalyptique, le joueur accompagné d’un drone de combat doit se servir du gameplay à la fois ultrarapide et aérien (il est question d’enchaîner les courses et les sauts au maximum et donc d’éviter de rester au sol, un peu comme un ninja) pour trancher dans le vif ses ennemis avec son épée après un « dash » (les charges et les coups peuvent être donnés à l’infini).


C’est cette fluidité dans les combats qui offrent la véritable claque de ce ScourgeBringer et qui permet de le qualifier de Rogue-like ultra-nerveux. Les ennemis arrivent de tous les côtés, il faut à la fois les éviter et les éliminer, tout en avançant dans les niveaux labyrinthiques jusqu’aux boss de fin. Le niveau de difficulté est là et offre un beau challenge pour les joueurs qui ont tout de même la possibilité d'améliorer leur personnage en termes de compétences (à chaque fois que l’on meurt ou à chaque niveau passé).

Et ce n’est pas encore la version définitive !

Avec sa vue de côté, ScourgeBringer joue au maximum la carte des vieux jeux à destination des nostalgiques. Le pixel art pourrait rebuter les plus jeunes, mais, au final, le gameplay est tellement fluide, la musique de Joonas Turner (notamment auteur de la bande-son de l’excellente série de jeux Badland) tellement adéquate, et les ennemis si bien détaillés qu’il est impossible de ne pas rentrer à 100 % dans ce jeu. Souvent décrit comme un croisement entre le jeu de plateformes Celeste et le rogue-like Dead Cells (deux références dans leur genre), ScourgeBringer est surtout une sacrée pépite qui est en train de se faire son propre nom. Et ce n’est pas fini puisque des améliorations sont prévues pour la deuxième partie de l’année au terme de l’accès anticipé et des retours des joueurs reçus par le studio Flying Oak Games. Trois niveaux supplémentaires (soit un total de 6) et un perfectionnement du gameplay sont par exemple annoncés !