Une intervention attendue. En 2021, le monde entier suit le procès qui oppose Britney Spears à son père, Jamie Spears. Ce dernier a placé sa fille sous tutelle en 2008. Treize ans plus tard, la chanteuse tente de s’en défaire et entame une procédure judiciaire à son encontre. Enfin libérée, la femme de Sam Asghari s’émancipe et prend son envol.
Sur ses réseaux sociaux, elle partage son quotidien, ses voyages et également son retour en studio aux côtés d’Elton John avec «Hold Me Closer». Jusqu’à ce jour, le principal concerné ne s’était pas exprimé sur cette tutelle imposée à sa fille.
Aujourd’hui, Jamie Spears prend la parole dans le Daily Mail : «Tout le monde ne sera pas d’accord avec moi. Ça a été une sacrée période. Mais j’aime ma fille de tout mon cœur et de toute mon âme. Où serait Britney aujourd’hui sans cette mise sous tutelle ? Et serait-elle encore en vie. Je ne le sais pas», avoue-t-il dans un premier temps. Des paroles difficiles à entendre pour les fervents supporters de Britney Spears.
Jamie Spears explique pourquoi il a mis Britney Spears sous tutelle
Aujourd’hui, Britney Spears s’exprime librement sur ses années passées sous tutelle. A plusieurs reprises, l’artiste évoque le calvaire qu’elle a subi. De son point de vue, Jamie Spears affirme qu’il a agi, avant tout, en tant que père pour la préserver: «D’après moi, une mise sous tutelle a pour but d’aider quelqu’un à retrouver sa vie et à retourner dans la société, et à être capable de vivre normalement. Je veux dire que j’ai fait une vraie différence.»
Depuis sa libération, Britney Spears ne veut plus entendre parler de son père. Elle refuse catégoriquement que ce dernier s’approche de ses deux fils, Jayden et Preston. Une situation qui attriste énormément leur grand-père: «Mes deux garçons me manquent vraiment, vraiment beaucoup. Vous savez, nous étions très, très proches. Ils avaient l’âge où l’on peut commencer à s’amuser avec eux. Mais ils développaient leur propre esprit critique […] La famille est dans un sale état. Tout ce que nous pouvons faire, c’est continuer à prier.»