Aya Nakamura n’a pas fini de faire parler d’elle. La chanteuse fait désormais partie des révélations françaises que le monde entier veut connaître. Outre-Atlantique, c’est le magazine The Fader qui a voulu en savoir plus sur le phénomène R&B. Le journal a consacré un article très complet au début de carrière de la chanteuse.
Aya Nakamura y fait des confidences sur son succès, son enfance mais aussi sur la place des femmes noires dans l’industrie musicale française : «Les gens me demandaient de blanchir ma peau pour essayer de plaire à plus de monde, mais cela ne m'a pas stoppé. Je ne veux pas être une victime.», raconte-t-elle en interview pour The Fader.
Aya Nakamura : bientôt une carrière à l’étranger?
Avant de cartonner avec son deuxième album, «Nakamura», dont sont extraits les hits «Djadja» et «Copines», Aya a parcouru un long chemin. «Je luttais pour trouver un emploi. Je chantais tout le temps, alors mes sœurs et amis m’ont conseillée d’aller au studio et de commencer à enregistrer mes propres disques. Je ne savais pas comment enregistrer une chanson, mais grâce à des amis, j’ai trouvé un studio et un ingénieur qui a accepté de m’aider.», relate la star dans The Fader.
L’article élogieux sur l'interprète de "Comportement", conclue par cette phrase: «Le monde est désormais son terrain de jeux». Aya Nakamura réussira-t-elle à faire aussi bien que Christine and The Queens ou encore MHD, superstars aux Etats-Unis?