Amel Bent se confie sur «1, 2, 3»: «J’ai épousé quelqu’un qui ne me dit pas ‘Je t’aime’»

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Amel Bent et Hatik abordent les problèmes de communication au sein d’un couple dans leur hit «1, 2, 3». Comment s’est créée cette collaboration? Ecoutez le nouvel épisode du podcast «Inspirés» sur NRJ pour tout savoir sur ce duo mais aussi sur la relation de la chanteuse avec son mari.

«Fatiguée d'être la seule à dire "je t'aime"/ J'me demande si un jour tu le diras/ Oui, mon cœur est accroché à tes lèvres. 1,2,3.», interprète Amel Bent dans son duo avec Hatik, «1,2,3».

La collaboration des deux artistes évoque les tensions dans un couple au sein duquel chacun n’exprime pas de la même manière ses sentiments.

Une situation qui touche beaucoup d’amoureux. Mais est-ce un titre autobiographique? Amel Bent, elle, n’espère pas de grande déclaration de la part de son mari Patrick Antonelli. «J’ai épousé quelqu’un qui ne me dit pas ‘je t’aime’ et pourtant je pense que c’est la personne qui m’aime le plus au monde. Donc je n’attends pas du tout qu’il le dise puisque je me sens baignée d’amour. (…) Le plus important pour moi est qu’il y ait de l’amour.», évoque la chanteuse dans le podcast «Inspirés» pour NRJ.

«1, 2, 3» composé par Vitaa, Dadju, Hatik… Un travail d’équipe!

Saviez-vous que Dadju et Vitaa avaient travaillé à l’unisson sur cette chanson? «Dadju est arrivé en disant que le titre le branchait. Il a créé des couplets avec Vitaa. (…) Ils ont été les architectes du morceau.», explique Amel Bent.

Ce travail collectif en studio s’est ensuite conclu par les ajouts et inspirations d’Hatik, qui «est tombé fou amoureux du thème, du texte et de la mélodie.»